De plus, cette édition aura comme fil rouge les méthodes pédagogiques innovantes (e-learning, MOOCs, simulation haute-fidélité sur mannequin interactif, etc). Cette thématique est vraiment au centre des préoccupations de la profession dans le contexte de réforme de la formation initiale en France. Tous ces outils restent des supports pédagogiques mais ont un rôle clé dans la démocratisation de l'apprentissage par résolution de problème, pierre angulaire du raisonnement clinique. Ainsi mettre en lumière cette thématique lors du congrès permet d'identifier les différentes pédagogies innovantes et ainsi d'améliorer la transmission des connaissances.
Enfin, et malgré son sigle complexe, ce congrès est reconnu et fait maintenant partie du paysage des congrès francophones en Kinésithérapie. Et ce ne sont pas les étudiants et jeunes professionnels francophones en kinésithérapie qui diront le contraire : 24 heures après le lancement des inscriptions, les 500 places disponibles étaient déjà parties ! La visibilité internationale est accrue cette année avec la présence d'étudiants québécois et libanais en plus des représentants de la France, Suisse et Belgique. Ce succès s'explique également par des soutiens institutionnels de qualité. Pour ne citer qu'elle, la FNEK est le partenaire majeur de l'évènement depuis 2 éditions. La seule organisation représentative des étudiants en kinésithérapie offre à l'évènement une visibilité indispensable auprès de ses associations membres.
En définitive ce programme tente de sensibiliser l'ensemble des acteurs de la profession à l'existence de méthodes et outils pédagogiques permettant d'amener les étudiants à un haut niveau de raisonnement clinique, une pratique basée sur les preuves, encourager les chercheurs en herbe vers la voie universitaire et s'ouvrir vers des pratiques internationales.
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