Le 3 novembre, à l’appel du Global Student Forum soutenu par la campagne 100 millions, se sont réunis une centaine de représentant.e.s de la jeunesse de 46 pays différents, de tous les continents. Cette réunion avait pour but de recueillir les impacts de l’épidémie de la COVID-19 sur la jeunesse en vue du prochain G20.
Les différentes interventions ont pu amener les différentes perspectives de la crise sanitaire auprès des jeunesses du monde. Elles ont pu ainsi permettre la création d’un appel de la jeunesse aux principaux décideurs mondiaux pour plus d’égalité dans la répartition des richesses pour pouvoir donner à chacun.e une chance de vivre décemment.
La présentation officielle de cet appel s’est déroulée trois jours plus tard, le 6 novembre lors du Global Youth Summit on the G20, où plus de 500 personnes étaient connectées pour suivre la présentation des propositions retenues et les différentes interventions.
Les préoccupations principales mise en avant sont la continuité pédagogique dans un contexte d’impossibilité d’accès à de l’apprentissage virtuel. Cela a également été l’opportunité d’exposer les problématiques qui ne font qu’augmenter depuis la fermeture des écoles : augmentation de la prostitution d’enfants, mariages forcés de jeunes filles, trafic d’enfants, entrée dans la délinquance de jeunes ayant besoin de moyens pour vivre.
Si nous ne voulons pas condamner des générations de jeunes, en tant que pays puissant membre du G20, nous nous devons de travailler pour aider ceux qui en ont le plus besoin.
En attendant le sommet des dirigeants qui se tiendra le 20 et 21 novembre, chaque organisation de jeunesse est invitée à contacter son gouvernement afin de l’inviter à prendre position pour un monde plus juste et porteur de plus d’espoirs pour le post-crise.
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