« Nous avons donc décidé de multiplier l'usage du dispositif d'éthylotest anti-démarrage. […]. C'est un outil utile pour lutter contre la récidive. Ainsi, toute personne dont le permis aura été retiré pour la deuxième fois pour « alcoolémie » ne pourra se le voir restituer qu'à la condition d'équiper son véhicule d'un éthylotest anti-démarrage et de se soumettre à un suivi médico-psychologique ». Autres personnes concernées, « les conducteurs dont le permis a été suspendu pour la première fois pour conduite en état d'ivresse pourront être autorisés à conduire pendant le temps de cette suspension s'ils équipent leur véhicule d'un dispositif d'éthylotest anti-démarrage. »
« Enfin, afin de rendre plus efficaces les contrôles de la conduite sous emprise de l'alcool, mais également de stupéfiants, les forces de l'ordre qui opèrent en bord de route pourront choisir de se rendre indétectables dans les applications communautaires. »
Selon le journal « Les échos », le plan gouvernemental prévoit aussi la suppression de l’obligation d’éthylotest à bord d’un véhicule. Par ailleurs, les mesures autour de l’alcool s’accompagneraient
d’une vente généralisée d’éthylotests à proximité des rayons de boissons alcoolisées et d’un développement des partenariats avec les débitants de boissons pour en favoriser la diffusion.
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