Pour certains publics étudiants, comme ceux en fracture numérique, ou encore ceux ayant le plus de difficultés, les cours en distanciel auront creusé le décrochage. La rentrée doit prendre en compte cela. Pour y pallier, il est possible deproposer des cours de remédiation à la rentrée, fait par les universités ou les tutorats.
De plus, la rentrée en semi-présentiel ne doit pas continuer à accentuer les décrochages de certain.e.s étudiant.e.s. L’université doit à ce titre identifier les publics les plus vulnérables et leur proposer davantage de cours en présentiel. Les étudiant.e.s subissant la fracture numérique, les étudiant.e.s inscrit.e.s à l’université avec des “oui si”, ou encore les étudiant.e.s ayant des difficultés d’apprentissage en L2 ou en L3 pourront se voir proposer davantage de cours en présentiel, en plus petits effectifs avec un taux d’encadrement plus important
Enfin l’université doit également identifier les cours qui ne pourront être enseignés à distance, et apporter une attention particulière notamment à ceux qui ont dû être neutralisés lors du semestre pair de cette année, afin de trouver des solutions de précaution sanitaire permettant leur maintien.
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