Depuis, cette annonce qui semblait majeure pour les jeunes, la clause n’a pas été mise oeuvre selon les promesses du gouvernement et à l’heure ou de multiples projets de loi sont en discussions, et qui, bien souvent opposent les jeunes selon leur statut ou leur origine sociale.
En effet, les nombreuses mobilisations étudiantes de ces derniers mois, ont bien démontré que les décisions des politiques publiques, n’étaient pas en adéquation avec les besoins des jeunes. Lors de ces multiples prises de décisions les jeunes ont du utiliser la manière forte, notamment pour obtenir le retrait de l’amendement visant à réduire l’accès des jeunes aux APL, mais encore pour dénoncer le budget de l’enseignement supérieur inadapté.
Face une société en perpétuelle mutation, il est urgent de prendre en considération les conséquences des décisions impactant les conditions de vie et l’avenir des jeunes.
La FAGE appelle le gouvernement a tenir pleinement son engagement de priorité accordée à la jeunesse. Mettre en place la clause d’impact jeunesse, c’est entendre la volonté des jeunes de participer à la chose publique, de devenir acteur plutôt qu’objet des politiques publiques.
Il est urgent de relever, grâce à cette clause d’impact jeunesse, le défi du dialogue civil, de la participation des jeunes et de leurs représentants et ainsi concrétiser la priorité qui leur est accordée depuis 2012, par le Président de la République et le Gouvernement.
Nous suivre sur